Message de: Virginie de Colfontaine en Belgique
Bonjour david
Tout d abord merci pour la création de ce site qui m a permis de mieux comprendre .
Bravo pour ton courage exemplaire .
J ai un ami tétraplégique et je ne sais pas tjr comment m y prendre avec lui , mais le fait d avoir des témoignages de personne comme toi , m aide dans le soutient que j lui apporte Merci pour ton courage qui nous aide tous
A très bientôt
bise

Message de: Sandrine de Toulouse
Bonsoir, c’est  impressionnant le nombre de personne qui t’on écrit et envoyé des mots d’encouragement
il y auras dix ans le 13 mai 2008 un garçon dont j’étais amoureuse est décédé d’un axident de moto ,jamais je ne l’oublierais
je te souhaite bon courage .

Message de: Pascal de Paris
Bonjour David,
J’ai été très touché par ton site et le courage qui se dégage de ta personne.
Le récit de ton accident est identique au mien jusqu’au moment ou un pompier m’a annoncé qu’il allait me toucher les doigts de pieds et de mains pour vérifier que ma moelle épinière n’était pas touchée.
J’étais comme toi, dans l’incapacité de bouger due à de multiples fractures sur l’ensemble de mon corps. Les quelques secondes qui ont suivi les paroles de ce pompier ont été pour moi les plus longues de ma vie. Une angoisse terrible m’a envahie à l’idée de ne plus pouvoir bouger.
Par chance, ma moelle épinière n’a pas été abîmée. J’ai quand même mi plus d’un an et demi pour retrouver l’usage normal de tous mes membres.
Les conditions de mon accident sont identiques aux tiennes : en 2000, je roulais à 30 km/h dans Paris rue de Rivoli, une voiture venant de ma gauche m’a coupée la route, j’ai été éjecté par dessus de la voiture et j’ai heurté une borne en béton qui se trouvait après.
Pas besoin de rouler très vite pour se faire très mal !
Une fois sur pied, j’ai décidé de reprendre la moto mais en redoublant de vigilance afin d’éviter le moindre accident.
C’était sans compter sur le fait que nous ne sommes jamais à l’abri même en prenant la plus grande attention aux autres.
Ainsi, l’année dernière, à 300m de chez moi, je descends tranquillement la rue qui mène à mon domicile quand j’aperçois à 50m un automobiliste qui, en quittant sa résidence privé, s’arrête au bord de la route. Le fait qu’il a marqué l’arrêt me faisait dire qu’il m’avait aperçu et je continua donc ma route.
C’est en arrivant à quelques mètres de distance de lui qu’il me coupa la route. Je le percuta donc de plein fouet et je rejoua le même scénario que le premier, éjection de la moto, survol de la voiture, salto avant et atterrissage sur la voie opposée.
Heureusement, je m’en suis sorti sans gravités, avec quelques contusions et luxations. S’il y avait eu une voiture ou un bus arrivant en sens inverse au moment de ma chute je n’aurai certainement pas eu autant de chance !
Une amie que j’ai croisé durant ma première hospitalisation et qui a vécu cette situation s’est finalement défenestrée et s’est tuée lorsqu’elle a appris qu’elle n’avait pas eu gain de cause dans le procès de son accident.
La morale de mon récit est que quoi que nous fassions, quelque soit le degré de vigilance et d’attention que nous exerçons lorsque nous sommes sur deux roues, nous ne sommes pas à l’abri de l’inattention ou de la négligence des autres conducteurs.
C’est pourquoi je considère l’utilisation des deux roues en ville comme un moyen de transports des plus dangereux et finalement qui est utilisé par des personnes inconscientes du danger potentiel ou inconsciemment suicidaires.
Pour conclure, j’ai décidé d’arrêter la moto même si l’envie de rouler en scooter pour gagner du temps est très forte. Mais qu’est ce que représentent quelques minutes voire même quelques heures perdues alors que l’on a l’usage de tous ses membres comparer à une vie transformée et limitée par un handicap majeur ?
Je compatie à ta situation et te souhaite malgré ton handicap tout le bonheur du monde.
Pascal

Message de: Christine de Toulouse
Bonsoir,
Je passe par la par hasard et je reste sous le charme, je sors de l’hôpital de Toulouse ou mon Papa viens d’être opéré d’un eschare , car suite à un accident de VTT il est tétraplégique et ce depuis 5 ans. Je ressens son désarroi et n’a plus aucun goût à se battre. Comment faire pour l’aider je ne sais plus.  J’ai passé mon permis moto à cet même époque, le hasard d’ailleurs, je l’ai passé par défi et je suis maman de 2 enfants. Hors à ce jour j’ai voulu allez jusqu’au bout du défi mais impossible pour moi de conduire seule une moto. Je trouve que tu as du mérite mais comment aider les familles qui se sentent un peu larguais fasse à la tétraplégie et surtout face à la tristesse de Mon Papa. Sur 3 enfants je suis la seule qui va régulièrement le voir. Il souffre et je ne sais pas comment l’aider. Aidez moi et surtout beaucoup de mérite a votre site.
Je vous embrasse

Message de: Valérie de Belgique
Salut,
Je suis infirmière dans un service de soins intensifs principalement axé sur la neurochirurgie. Chaque année nous admettons dans ce service un nombre considérable de patients qui ont vécu une situation semblable à la tienne et à chaque accident la même question : POURQUOI ? Nous nous sentons très souvent déconcertés face aux familles, en effet, les premières heures sont très souvent critiques, passé ce cap il y a le réveil, qui très souvent laisse des séquelles soit cérébrales soit neurologiques et enfin toutes les questions qui accompagnent ces situations, des questions qui la plupart du temps sont identiques ; combien de temps ? , quelle évolution ? , jusqu’où va t-il aller ?  …questions auxquelles nous ne pouvons malheureusement pas répondre…Et enfin il y a la sortie du service de soins intensifs pour un service de rééducation, la plupart du temps lorsque ces patients ont passés nos portes nous n’avons plus de nouvelles de leur évolution et pour nous c’est dommage, d’un autre coté je peux comprendre qu’après avoir passé nombre de jours dans cet endroit que même venir dire un petit bonjour doit être plus que pénible.
Il est évident qu ‘un handicap comme le tient nécessite une adaptation totale de tout ton univers mais après avoir vu les photos de ton site je trouve que tu te débrouilles très bien et je te félicite ! Je ne peux que te souhaiter des tonnes de courage à toi et à ton entourage, continue sur ta lancée ! En espérant avoir de tes nouvelles.
Valérie

Message de: Kurt le Savage du département de la Gironde (33)
Bonjour a toi, je suis tombé sur ton site par hasard alors que je rechercher des sites web sur motomag 
Ton histoire m’a choquer, si jeune
J’ai bientôt bientôt ton age et c’est dur de voir ce genre de chose
J’espère qu’un jour il trouveront une solution pour ce genre d’handicap, car avoir ça à 21 ans c’est tragique
Courage Grand  

Message de: Xavier motard de Toulouse (la ville rose).
Salut David,
Je m’appelle Xavier, je roule en Suzuki SV 650 S depuis quelques moi maintenant.
Après avoir visualisé ton site, je suis très impressionné par le courage dont tu fais preuve.
Grâce à toi, les motards, comme les non motards peuvent prendre conscience de certaines choses (dangerosité de la route, respect des autres, civisme, etc).
Merci encore pour ton témoignage. Chaque fois que je lis une histoire comme la tienne ou s’y rapprochant, ça me permet de me mettre du plomb dans la tête …
Bonne continuation.
Xavier

Message de: Thierry de Gérardmer (Vosges)
La moto est une passion enivrante avec laquelle on partage un danger omniprésent, surtout sur la route.
Même en roulant à vitesse réduite la collision peut-être fatale.
Merci pour ton courage, et pour ton témoignage qui nous rappelle  cela.
Merci pour témoignage preuve d’une grande solidarité motarde et d’abnégation.
Je te souhaite pleins de bonnes choses pour l’avenir.

Message de: Christophe né à Boulogne s/ Mer dans le Pas de Calais et je vis depuis un an et demi à Mexico City…
Bonjour David,
Je suis tombé « par hasard » sur ton site et j’ai ressenti le besoin de te faire part de ces quelques témoignages…
. J’ai déjà entendu parler de personnes qui avaient eu une troisième série de dents (au lieu de deux comme la plupart), cela te dit qqchose?
. Dans un village reculé d’Afrique, loin de la « civilisation », on a retrouvé un jeune adulte qui avait eu le pied arraché lors d’un accident; à la place, un « nouveau » pied lui été repoussé et lui permettait de remarcher quasi normalement. On n’avait jamais dit en effet à ces indigènes que les membres ne repoussaient pas une fois endommagés ou perdus.
. J’ai une amie d’environ 55 ans qui a eu un cancer du sein il y a une quinzaine d’années. Son cancer avait été détecté dans un état avancé et l’avis des médecins de l’époque était qu’ils ne pouvaient plus rien faire pour elle, au vu de cet état avancé (l’histoire ne se passe pas en France). Elle ne l’a pas entendu de cette oreille et avait décidé de ne pas baisser les bras non plus. Elle s’est soignée toute seule (oui toute seule, sans chimie, sans médicament) (…). Aujourd’hui elle est en parfaite santé…
 Sur cette planète, il y a la pensée officiel, la science officielle, la médecine officielle, les religions officielles, etc… Le reste n’existe pas, tout simplement!
Pour la médecine officielle, ton cas doit être sans réelle issu tout comme l’était le cas de la 2^ème anecdote et l’aurait été le cas de la troisième !
Qui a dit qu’avec la pensée ou avec la foi (en soi ?) on peut déplacer des montagnes ?
Mon expérience personnelle m’a montré à de multiples reprises qu’en dirigeant consciemment sa pensée, qu’en croyant farouchement en quelque chose ou qu’en souhaitant très fortement quelque chose, des « miracles » se produisaient. (Je mets le mot miracles entre guillemets parce que pour moi ils n’existent pas).
On apprend à tenir l’équilibre sur un vélo alors pourquoi ne pourrait-on pas apprendre à dompter et diriger sa pensée…
Reçois mes sincères salutations,
Christophe